Poste Canada pas mieux qu’en France. Mon colis est parti de Toronto (environ 700km de Montréal) pour arriver le lendemain dans ma ville. Puis plus rien ne bougeait. La date limite max de livraison était pour le 15. Donc j’ai patienté. Le 15 le colis a bougé … mais pour aller en Nouvelle-Écosse (Une partie de l’Acadie justement. Fallait bien qu’on en parle avec @bornich ). Il lui aura fallu une semaine de plus pour en revenir et finalement être livré chez moi.
Bref en cette fin de journée de 25 décembre (bonnes fêtes à tous), j’ai trouvé un moment pour tester.
Ca marche!!! Ou presque. Pour arriver à faire partir le pi, je dois d’abord débrancher le port usb. Sinon la clé ne part pas. Dès que je vois qu’elle boot je rebranche et c’est ok. Par hasard, j’ai essayé de mettre la clé sur le port usb mais cela ne donne rien.
C’est vrai que je pourrais dès maintenant cliquer que c’était la solution. Cependant je préfèrerais attendre de voir quel setup je dois modifier pour que je n’ai pas à faire cette manip à chaque fois que je dois redémarrer le pi 3b+.
Ce problème est connu. Il faut placer une carte MicroSD vierge dans le lecteur de votre Pi pour corriger cette situation.
Il faut formater cette carte en FAT32 et y placer le fichier suivant : bootcode.bin
Il se trouve aussi dans votre partition /boot du Jeedom
Entre nous, cela ne sert à rien d’installer l’OS et Jeedom sur une clé USB, cela peut même être pire que d’avoir tout cela sur une bonne carte MicroSD.
- En effet, une clé USB a une durée de vie limitée (1 000 cycles dans le meilleurs des cas) et elle n’est pas prévue pour avoir un OS dessus (avec tous les accès liés à l’usage).
Préférez de loin, une installation sur un disque SSD de type mSATA, à placer dans un boitier USB.
- C’est un type de SSD parfaitement adapté aux Pi, ils ne consomme pas beaucoup est c’est très fiable.
Je dois avouer que ce soir je n’ai pas poussé très loin mes recherches pour ce problème spécifique
Cette action est-elle provisoire ou définitive? Comprendre que la carte est là pour y rester? Dans ce cas, je me retrouve un peu comme si j’avais un ancien pi qui a d’abord besoin de cela pour booter USB. Mais bon, à part de devoir chercher une carte quelque part, cela ne me pose pas de problème.
Pour la durée de vie d’une clé USB / Jeedom = problématique, je n’étais pas au courant. Il me semblait que c’était vraiment la carte SSD l’unique maillon faible des différentes mémoires. Dans les diverses discussions que j’ai eu sur ce sujet, j’ai entendu plusieurs stratégies. L’une d’elle est de toujours avoir un clone plus ou moins à jour et donc de considérer la mémoire comme du consommable. Si avec mon installation mon cycle de vie est supérieur à un an, alors cela me parait « »« raisonnable »« ».
Le clonage m’a empêché de dormir longtemps puisque j’étais pris avec un modèle de carte 64Gb qui n’était plus commercialisée et de capacité légèrement supérieure à ce qui existe sur le marché d’officiellement de même capacité. J’allais tout de même pas acheter du 132Gb pour Jeedom. Mais quand j’ai découvert la solution de @bronche, cela a été le jour et la nuit de par sa simplicité et sa souplesse (vs les capacités mémoires).
Ce qui veut dire que, pour l’instant je vais « consommer » deux ou trois clés (c’était un paquet de trois et j’en ai pas d’autre usage). Ce sera un bon test de durabilité. Mais ensuite, suite à ta recommandation, je pourrais bien me tourner vers un disque SSD … tout en continuant de faire des clones vers clés USB. le meilleur des deux mondes quoi
L’usage de cette carte n’est pas fait pour donner le boot à votre clé, elle est là pour laisser du temps (perdre du temps) au boot et laisser l’ensemble s’initialiser.
=> Faites le test (c’est rapide) et dites nous si c’est utile ou pas.
Le clonage est (selon moi hein…) inutile. Pourquoi ? tout simplement que Jeedom se restaure en quelques actions.
Installation Raspberry Pi OS (en dernière version, ce que ne fera pas votre clone)
Installer Jeedom : 1 seule ligne de commande
De ce Jeedom, y injecter votre sauvegarde (1 clic ou 2)
3 bis ) Restaurer cette sauvegarde (peut importe la version de Jeedom précédemment installée, la restauration fait revenir Jeedom dans la version de la sauvegarde).
Là vous avez un truc fiable, sans prise de tête.
Un petit tutoriel pour découvrir cela, tranquillement :
Nul par sur le forum, il doit être conseillé d’installer Jeedom sur une clé USB, c’est vraiment une fausse bonne idée. Il n’est pas dit qu’un clé USB puisse durée 1 an.
La solution sur SSD mSATA (le mSATA est important dans l’histoire) est vraiment fiable et éprouvée.
- Mais pareil, avec tout ces combinaisons, on s’éloigne un peu de l’idée du Pi du départ, un truc fiable et pas cher.
Désolé pour le délai. Je fais de gros travaux à la maison qui me grugent mon temps. Mon installation Jeedom en subit les conséquences.
Merci pour le lien vers ton tuto très bien fait. Pour le coup, j’ai aussi pris connaissance de toutes les conversations liées.
En vrac ce que je pense de tout cela:
Oui c’est la solution vers laquelle je vais me diriger. Tu m’as convaincu. Mais la situation actuelle prouve qu’avoir sous la main un clone est loin d’être une mauvaise idée. En effet, dans mon cas, l’utilisation de Jeedom est essentiellement dédiée à mon chauffage (et la clim en été). Dans un pays où la température peut descendre au delà de -30 en hiver, la situation peut devenir rapidement très très inconfortable en cas de panne. Ne t’inquiète pas. J’ai une modification filaire simple à faire pour bypasser les SonOff et rendre la main au thermostats classiques. Avoir un clone c’est redémarrer immédiatement, sans délai … même sur une clé usb.
Quand je parle de la situation actuelle, c’est évidemment la covid et ses effets collatéraux sur les délais de livraison de colis comme je viens de le subir pour le port usb. Un mois c’est long et … non je n’ai pas l’intention pour autant de payer pour Prime.
C’est l’ami qui m’a aidé au départ (ne connait rien à Jeedom mais connait très bien l’univers Linux en général et le Raspberry en particulier) qui m’avait suggéré fortement d’avoir tout en double dans un tiroir, voire en triple dont des pi. Oui, du coup c’est extrêmement sécuritaire et très rapide « de se retourner sur un 10 cents » comme on dit icitte. Mais bonjour le budget! Je ne suis malheureusement pas ingénieur chez Airbus comme lui
En plus, si on veut vraiment être sécuritaire, on prend en compte la recommandation de @PoM (de mémoire, je crois que c’est lui) qui dit que chez lui il y a autant de pi et Jeedom que de systèmes à gérer (Chauffage, alarme, etc.) Je pense même que comme dans Tolkien, il y a pi qui gère tous les autres! Si on prend en compte toutes les autres recommandations plus haut, ca commence vraiment à devenir à la fois fou et sensé. De quoi devenir schizophrène.
Comme je réfléchi tout haut en même temps que j’écris, je pense qu’il n’est pas utile que j’ai en réserve un deuxième mSATA. Un clone sur une clé USB devrait faire le boulot le temps d’en commander un autre et qu’il arrive;
Il faudra que je relise le post de @bronche. Il me semble que certains avaient proposé des solutions pour que le clone soit mis à jour automatiquement chaque nuit (oui cela nécessite l’arrêt des BD il me semble. Mais c’est un moindre mal). Comme la solution de @bronche ne nécessite pas de supports identiques (marques et capacité mémoire), je ne vois pas pourquoi il ne serait pas possible de faire des clones réguliers de mSATA vers clé USB.
Pour le reste ta solution me réveille le « traumatisme » de mes débuts il y a un an. C’est ce fameux ami qui m’avait dépanné. C’était à propos du certificat. Il a bidouillé pas mal, au point d’être incapable à la fin de me dire quel protocole je devrais suivre pour le faire moi-même. Le clonage est pour l’instant la solution idéale pour reporter à plus tard cela. Mais je me suis promis de m’y attaquer (j’ai ma fierté). Donc probablement en même temps que le mSATA vers le printemps probablement (après les travaux). Ce n’est pas le sujet de ce post. Mais en deux mots, la différence pour moi est que je n’ai pas de box, juste modem haute vitesse + un routeur (mais ca c’est trivial … juste pour dire que les saisies d’écran ou certaines explications des tutos ne s’appliquent pas à moi) et surtout, mon nom de domaine, je le tiens de Google. J’étais travailleur autonome. Google permet de remplacer gmail par son nom de domaine. Après bien des galères on a réussi à trouver où c’était géré et de créer un sous domaine. Mais là encore, le provider qui fait cela pour Google ne propose pas tout à fait les mêmes options. Donc toute cette partie là, je la maitrise maintenant. Créer le certificat aussi. Mais avoir un https actif, à l’époque non. Je vais bien y arriver un jour. Disons que ta solution ne me donnera plus de frissons quand tout cela sera derrière moi et que j’en rigolerai tellement c’était simple et que je me trouverai niaiseux. Pour l’instant non et mon https fonctionnel reste une boite noire. C’est vexant.
