Petite interrogation (il n’y a pas d’idée polémique derrière).
As-tu fait une estimation de la consommation électrique de toute ton installation domotique ? Les Rpi, les périphériques consommateurs, et les chargeurs (en général, convertisseurs en 5V) derrière ?
Perso, toute petite install domotique, j’essaie de limiter au mieux le nombre de ‹ controleurs › domotique alimentés, et les périphériques fonctionnant en wifi.
Je suis peut-être trop timoré, mais j’ai l’impression qu’une installation telle que tu la décrit devient assez consommatrice d’énergie, de manière continue.
Certes, le Wifi tombe rarement en pannes mais ça peut se produire. L’inconvénient est qu’il est difficile d’avoir une source redondante en wifi.
MQTT ça peut également tomber. Et ; avoir le serveur MQTT sur le même matériel que Jeedom n’est pas forcément le meilleur choix. En cas de pannes du serveur Jeedom, toutes les coms sont perdues.
Une haute disponibilité est préférable.
La connexion filaire pour l’interconnexion des services avec de la redondance est simple à mettre en place.
Par ailleurs, avec une telle redondance on peut facilement implanter des clusters pour certains protocoles. L’une des méthodes simples pour MQTT est par exemple un cluster RabbitMQ très simple à mettre en œuvre sur du conteneur.
Concernant, le protocole Zwave, avec Zwavejs2MQTT, il est possible de conteneuriser et de passer par du monitoring, alerting et des webhooks pour surveiller que tout soit OK, lancer des alertes selon un seuil où il n’y a plus de réponses et tenter de relancer le conteneur. Si la machine est KO, il est certains que ça va être plus compliquer. Malheureusement, on ne peut pas avoir de redondance matérielle (duplication sur plusieurs clés Zwave par exemple).
Autre avantage, on peut faire des ponts MQTT - AMQP au besoin. (Utile dans certains cas pour de l’automatisation de processus par exemple avec nodered ou n8n par exemple)
Cela peut également s’appliquer à d’autres protocoles si on souhaite une haute disponibilité.